Eija Jimenez
Eija Jimenez écrit depuis son plus jeune âge, à l’époque où les fusées en papier pouvaient voler jusqu’à la Lune. Son genre et son style ont changé au cours du temps, mais pas son envie d’écrire des fictions LGBT. Eija espère ainsi contribuer, à sa façon, à cette communauté toujours en évolution.
Elle a étudié l’anglais et la psychologie à l’Université de Toronto et a obtenu, en 2014, sa licence en lettres avec les félicitations du jury. Étudiante, elle passait le plus clair de son temps extrascolaire à mettre ses cours à profit en écrivant des histoires.
Pendant longtemps, Eija a été la benjamine d’une fratrie de trois sœurs jusqu’à ce que son petit frère n’arrive. Issue d’une grande famille philippine, elle avait juré qu’elle aurait elle-même au moins cinq enfants. Maintenant qu’elle a vieilli et qu’elle a été la baby-sitter de son frère presque toute sa vie, ce chiffre est retombé à deux. En revanche, elle est déterminée à avoir autant de chats, de chiens, de lapins et de cochons nains que possible.
Lorsqu’elle n’est pas en train d’écrire, Eija pratique le lancer de haches (en plein dans le mille !), fait de la randonnée, et chante à tue-tête dans sa voiture. Elle adore la musique des années 80 et pourrait passer sa vie à ne manger que des pommes de terre et du fromage. Heureusement, elle adore tester de nouvelles recettes, qu’elle les réussisse ou non, et cela lui permet de ne pas faire une overdose de pommes de terre et de fromage.
Auteure passionnée, Eija lit aussi beaucoup de livres, comics et tout ce qu’il peut y avoir entre les deux genres. Sa liste de « lectures futures » est plus longue que sa liste de « lectures en cours » et continue de s’allonger de jour en jour. Sa saga de prédilection est celle des Harry Potter (vive Pouffsouffle !) et son roman préféré restera toujours Ne Tirez pas sur l’Oiseau Moqueur. En ce moment, elle lit les comics Saga et The Wicked + The Divine ainsi que le livre true crime Helter Skelter.
Elle vit au Canada avec sa femme et Sa Majesté le chat. Eija passe presque toutes ses soirées chez elle, à se faire battre aux jeux vidéo et aux jeux de société par sa femme qui ne la laisse jamais gagner.
Si elle devait donner un conseil à quelqu’un, elle citerait Desiderata de Max Erhmann : « Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles ». Si parfois vous vous sentez petit ou insignifiant, sachez que l’univers entier serait différent sans vous.