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Hannah Woods

Hannah Woods

Bien qu’Hannah Woods soit née sur une île, elle n’a aucun attachement à cet endroit où elle a passé les dix-sept premières années de sa vie à s’ennuyer. Sévèrement. Elle n’aime ni la plage, ni les randonnées, ni le chaud, et a une peur irrationnelle des lézards, peu importe la taille. Prise d’un ennui colossal la majeure partie de son adolescence, elle a commencé à écrire des histoires au lycée, quand les autres allaient brûler leur peau sous trente-cinq degrés.

Elle aime beaucoup lire et des choses très variées. Des classiques de sa génération comme Harry Potter (team Slytherin) ou des plus anciens comme Orgueil et Préjugés, mais aussi des œuvres juridiques et politiques. Le genre n’a pas vraiment d’importance, c’est toujours très long et très difficile pour elle et son terrible trouble de l’attention. Elle avoue avoir en moyenne trois minutes de concentration, sauf devant les comics de l’univers DC (un hommage particulier au Joker qui reste le meilleur vilain de tous les temps d’après elle).

Hannah Woods mange, dort et respire les Penguins de Pittsburgh, (mention spéciale pour le capitaine #87). S’il y a deux choses qu’elle déteste par-dessus tout, c’est qu’on déplace ses affaires et qu’on lui pique sa place. Sa place, c’est sa place. Pas touche à sa place.

Décrire son caractère lui est très difficile, parce qu’il change constamment. Elle peut commencer sa journée en ayant quatre ans d’âge mental, être blasée à 10h, sur-excitée à midi, à deux de tension à 14h, en profonde réflexion philosophique à 16h et bouder le reste de la journée, puis finalement céder à ses amis parce qu’ils lui offrent des nuggets.

Très curieuse, un « pourquoi » sans réponse va devenir une réelle obsession. A contrario sa réponse à la question « pourquoi tu fais ou dis quelque chose ? » est souvent « pourquoi pas ? ». Elle adore les contradictions et ce qui la surprend. Elle aime aussi contredire les autres rien que pour les embêter. D’après ses dires, elle est toujours en train de se plaindre. Le pire ? Malgré ces défauts, tout le monde s’accorde sur son côté adorable.