La Voie du Sud sortira le 04 Juillet 2023 et voici un extrait de la romance lesbienne de Marguerite Grimaud
La semaine dernière, nous vous avons annoncé dans un article de blog « 2 en 1 » (oui, comme le shampoing) que notre prochaine sortie serait disponible le 04 juillet 2023. Il s’agit du premier roman lesbien de Marguerite Grimaud, qui vous d’intégrer l’équipe des autrices Reines de Coeur pour notre plus grand plaisir.
Dans cette belle romance, vous voyagerez à l’autre bout du monde, en Australie pour être précise. Et pour cela, rien de mieux qu’être guidée par une Parisienne. Une Parisienne dont le métier est d’être chanteuse à l’Opéra et qui se retrouve à découvrir l’opéra de Sydney…
Si vous avez raté l’article de la semaine dernière, voici la quatrième de couverture
On sait que tout le monde ne lit pas forcément les articles du lundi. Et d’ailleurs, à ce titre, je tiens à dire merci. Un grand, un immense un très sincère merci aux adorables lectrices qui prennent le temps de commenter les articles. C’est trop adorable. Vraiment trop touchant. Adorablement mignon ! Et promis, on les lit vos commentaires et ils nous émeuvent à chaque fois. En tout cas, ils nous donnent envie de continuer, encore et toujours. On vous le garantit !
Donc, avant l’extrait, voici la quatrième de couverture de cette histoire. Un petit résumé un peu différent de celui que je vous ai proposé au-dessus.
Héloïse Freinet a tout connu : les premiers rôles, les palaces et la gloire. À la suite d’un violent traumatisme, la célèbre cantatrice est privée de sa voix pendant de longs mois. Contrainte de repartir de zéro, elle n’hésite pas une seconde lorsque l’opéra de Sydney lui propose un contrat. La soprano s’envole à l’autre bout du monde avec l’espoir que son histoire, elle, reste à Paris.
Scénographe, Camille Watson est passionnée par l’art lyrique et la mise en scène. Admiratrice de la carrière d’Héloïse et francophile, elle noue rapidement des liens avec la cantatrice. Au fil des semaines, des rencontres, des secrets partagés, la relation entre les deux trentenaires s’intensifie.
Si Héloïse reprend peu à peu confiance en elle grâce à Camille et ses amies, elle est loin de se douter que la jeune femme cache en réalité des sentiments plus profonds…
Extrait de la romance lesbienne La Voie du Sud de Marguerite Grimaud
Après Aimer n’est pas Jouer de Fanny Mertz qui se concentrait sur la musique, voici La Voie du Sud de Marguerite Grimaud qui se focalise sur le chant. Nous sommes certaines que vous allez vous laisser bercer et emporter par l’écriture de cette nouvelle autrice. En effet, nous sommes tombées sous le charme dès notre première lecture. Nous espérons que ce sera également votre cas ! En attendant, le fameux extrait. Bonne lecture !
Un bon vieux cliché, la directrice de la communication est surbookée, s’amusa Camille. Shelby, la directrice en question, traversait le hall de l’Opéra, un téléphone à l’oreille, les yeux scotchés à l’écran d’un deuxième appareil. Apercevant Camille, elle mima un soupir exagéré, lui faisant signe d’attendre.
— Salut, comment dis-tu « Good luck » en français ? s’enquit-elle en raccrochant.
— « Bonne chance », mais tu devrais plutôt lui dire « bon courage ».
— Ça, elle va en avoir besoin, assura Shelby. Elle a accepté des entretiens en tête-à-tête après la conférence de presse.
— Beaucoup ?
— Onze…
— Ah oui, carrément. Elle va finir crevée.
— Et encore, il y a eu vingt-deux demandes. On a refusé la plupart des médias français, leurs correspondants devront se contenter de la conférence. Elle les boude. Je ne te fais pas un dessin…
— Vu la façon dont ils l’ont traitée, je comprends très bien qu’elle soit échaudée. Les premiers jours de cette histoire, c’était du grand n’importe quoi.
— Un seul a échappé…
— Enguerrand Maillard, du site Arpeggione, je suppose.
— Bien vu. Il a fait le voyage, je l’ai rencontré, il est très pro et très sympa. Ça devrait bien se passer.
— Ses articles étaient impeccables. Et pour les autres, ne lui en veux pas.
— Toi, tu es tombée sous son charme. Et non, je ne le lui en veux pas. Elle est super cool !
Le thème aigu du Psychose d’Alfred Hitchcock les interrompit.
— Shelby ?
— Oui ?
— Change de sonnerie, ce n’est pas bon pour tes nerfs.
— Tu as raison, mais ça me fait rigoler ! Ah, voilà Héloïse.
Camille sentit sa bouche s’assécher. Un jean sombre parfaitement coupé accentuait la courbe des hanches de la cantatrice ; un chemisier bleu sagement boutonné très haut, mais un peu flou ne cachait rien de sa poitrine parfaite ; ses cheveux relevés dans un chignon haut mettaient en valeur le gracieux ovale de son visage, dont la beauté ne pouvait dissimuler la pâleur de sa peau, l’inquiétude de ses yeux. À côté d’elle, comme un garde du corps, Taylor Knowles semblait encore plus angoissé qu’elle. Ça ne doit pas aider.
Héloïse Freinet se figea, tripatouilla son téléphone, prit l’appel.
— Bonjour Alain. Tu es encore réveillé ? Oh, tu vas regarder.
Son agent, Camille, se souvenait avoir vu passer son nom au moment de l’affaire.
— Je ne suis plus trop habituée au normal, tu sais ? Oui, je sais, c’est ton métier, mais c’est quand même très attentionné de ta part, tu dois avoir autre chose à faire. Oui, je crois que je suis prête.
Elle porta son poing fermé à sa bouche.
— Toute cette confiance. J’ai beaucoup de chance de t’avoir. Merci pour ton appel. Ça me touche. Je t’enverrai un message après les tête-à-tête. Parlons-nous vite, oui. Ne veille pas trop tard.
La cantatrice resta rivée sur son écran, s’éclaira, pianota frénétiquement, s’esclaffa, pianota à nouveau, scruta encore, et partit dans un petit rire.
Stupéfaite de la métamorphose d’Héloïse, la scénographe n’y tint plus, s’approcha : la Française avait repris des couleurs et la frayeur dans ses iris s’était évaporée. Avec un « bonjour » et un éclair bleu, la cantatrice accéléra le pas, Taylor tenait la porte d’un ascenseur, elle était déjà partie, pouffant, encore.
Le cœur en bataille, Camille s’installa dans la régie son de la salle de la conférence de presse. Elle observa Albina Kimarova, Igor Baronov, Simon Burgh, les rôles principaux de La Traviata, s’installer. Albina semblait s’être donné pour mission de protéger sa consœur et s’assit d’autorité près d’elle. Joyce Winston, Maurizio Mundi et encore Alicia Plivin, qui composaient une bonne partie de la distribution des Noces, prirent à leur tour place en conversant avec leurs confrères et consœurs. Héloïse, apparemment très détendue, n’était pas en reste. Donc, ta réputation n’était pas si vraie, sinon tes collègues te snoberaient, non ? songea Camille.
Une pluie de questions marqua le début de la conférence, toutes pour l’objet de l’attention du jour. La soprano fit taire le brouhaha d’un ton gentiment courroucé, elle pointa un journaliste qui ne se fit pas prier.
— Graham Toddey, Sydney Herald. Bienvenue en Australie, Miss Freinet. Pouvez-vous nous raconter les semaines qui ont suivi la perte de votre voix et celles qui vous ont emmenées à Sydney ?
— Ah, nous entrons directement dans le vif du sujet, d’accord, opina-t-elle. Après la représentation inachevée de Bastille, j’ai dû être hospitalisée. J’ai fait une grave dépression.
Camille manqua quelques respirations.
— Les deux premiers mois ont été très difficiles, mais j’en ai un souvenir un peu confus, confessa Héloïse Freinet. J’ai d’abord été placée en cure de sommeil puis assez lourdement traitée.
— Quel traitement vous a-t-on prescrit ?
— Des antidépresseurs, des neuroleptiques et des somnifères. J’ai ensuite été réorientée vers un traitement plus léger, mais accompagné d’une thérapie assez intense.
— Et maintenant ?
— Plus rien de régulier. J’ai seulement des anxiolytiques à portée de main. Mais il est hors de question que j’en prenne avant une représentation. J’aurais peur de faire une Annina ou une Barberine un peu trop guillerettes.
La boutade fit son effet.
— Et je suis toujours en thérapie. La technologie permet de faire beaucoup de choses, même à l’autre bout du monde.
— Quand avez-vous retrouvé votre voix ?
— Un jour d’hiver, à Paris. Autour d’un dîner familial. Il n’y a qu’une Française pour retrouver sa voix en mangeant un bon petit plat et en dégustant un grand bordeaux.
De l’estrade au parterre, l’assistance fut secouée d’un éclat de rire.
— Quel bordeaux ? interrogea une journaliste tout sourire.
— Un Chasse-Spleen, tout à fait approprié pour une cantatrice en dépression, non ?
C’est peu dire que tu as le sens de la scène, admira Camille. Et ton accent français est délicieux.
— Comment allez-vous ? relança un reporter.
— Franchement, bien. Je ne sais pas, en revanche, dans quel état je vais finir cette journée. Je n’ai pas parlé à autant de monde depuis des lustres.
— Vous pensez retrouver la plénitude de votre voix ?
— Je ne le sais pas. Il faut laisser du temps.
— Cela vous manque ?
— Oui, bien sûr. Je suis privée d’une partie de moi-même. Je recommence à chanter, c’est déjà très bien, mais mon amplitude s’est rétrécie, je reste juste dans les aigus et j’ai du mal dans les graves. Je suis obligée de limiter mon temps de répétition pour ne pas trop solliciter mes cordes vocales. Des jours comme celui-ci, je me prends à penser que cela reviendra, que cela ne peut pas être parti comme ça. D’autres jours, c’est plus difficile…
— Oh, Héloïse,murmura Camille.
— En revanche, j’ai fait d’impressionnants progrès au piano. Je ne vais pas prétendre à commencer une carrière de soliste, mais je suis assez épatée par mon niveau qui est passé de moyen à, disons, pas mal. À Paris, mes voisins se plaignaient moins que d’habitude. Et ici, les salles de répétition sont insonorisées.
Malgré son apparente facilité à plaisanter, la soprano tenta de reporter l’attention vers ses collègues, en vain.
— Comment trouvez-vous l’opéra de Sydney ?
— Il est splendide. Les reflets sur les toits m’enchantent. Et cette baie est magique. Je ne me lasse pas de ce paysage depuis que je suis arrivée. Et, c’est, je pense, un lieu parfait pour se reconstruire. J’ai rencontré des gens très accueillants et sympathiques.
Elle posa la main sur celle de Taylor, qui rougit.
— C’est aussi le seul établissement qui m’a proposé du travail !
La salle repartit dans un grand rire, comme l’ingénieur du son à côté de Camille.
— Vous avez la réputation d’être distante, très dans votre tour d’ivoire, ça ne semble pas être le cas. Qu’est-ce qui a changé ?
Si elle accusa le coup, elle n’en fit pas montre. Elle chercha d’où venait la voix, inspira plusieurs fois dans un épais silence.
— Je vous dirais bien qu’être exigeante et être un bourreau de travail ne veut pas dire se réfugier dans une tour d’ivoire, mais c’est peut-être ma façon de voir les choses. Et bien sûr, je ne vais pas le cacher : ce qui a changé, c’est faire une dépression, s’en sortir et passer de tête d’affiche à petits rôles. Mais je tiens à rectifier quelques fausses affirmations qui ont circulé çà et là, enfin plus que çà et là…
Les appareils photo crépitèrent pour capter l’expression désormais sérieuse d’Héloïse.
— Je n’ai jamais manqué de respect à quiconque dans un opéra, jamais eu de demandes extravagantes. Je n’ai jamais réclamé le renvoi de qui que ce soit, jamais quitté une scène sur une fausse note. De toute ma carrière, je n’ai annulé que trois représentations, en raison d’une grippe carabinée. Je travaille dur pour moi et pour la réussite d’une production. Je pense que ceux et celles qui se sont déjà produits avec moi peuvent ici en témoigner.
Albina hocha vivement la tête. Les appareils se déclenchèrent de plus belle, Héloïse avait retrouvé un large sourire.
— Mais oui, je le reconnais, il m’arrive d’être dans une bulle difficile à percer et je peux être abrupte, mais d’abord avec moi-même. Et oui, j’ai effectivement demandé, quand je chantais aux États-Unis, que l’air conditionné soit éteint dans ma loge… Je pense que je ne suis pas la seule. Vous voyez ce que je veux dire sur l’amour des Américains pour les ambiances, disons… réfrigérées.
Un nouvel éclat de rire déborda dans la salle et l’estrade pendant qu’Héloïse poursuivait.
— Ce qui me permet de saluer les établissements, là-bas, qui m’ont écrit, soutenue. Et, de partout, tous ceux et celles qui l’ont fait.
— Avez-vous pardonné votre ancienne compagne ? Et si non, pensez-vous que ce sera possible ?
Comme tous les lundis, cet article m’a énormément émue, par tes mots trop mignons Isabelle, évidemment !
De cet extrait, l’émotion est déjà très palpable !
Héloïse, parisienne, soprano pleine de ressources après un traumatisme, je la voie et l’entend !
La voie vers Sydney pour retrouver sa voix originelle, le suspense en compagnie de Camille est total !
Ps : les Reines qui suivez la voie du Nord, vers la Bretagne, je vous accompagne mentalement en espérant beaucoup de rencontres et de ventes😊😊👸👸👸
Coucou Cécile,
Ravie que tu aies aimé cet extrait. Et oui, mon message parlait de toi et de toutes les autres auxquelles je vais m’empresser de répondre. Vous faites vivre les articles du lundi ! Par vos messages, vos échanges adorables entre vous, vous nous faites sourire et rire. C’est tout ce qu’on a toujours voulu créer, une communauté bienveillante et à l’écoute. Je ne sais pas comment dire, à part que vous êtes géniales !
En tout cas, il y a dans cette histoire une sorte de poésie dans la reconstruction de l’héroïne. Il y a de la souffrance, une vraie fêlure et la beauté d’une renaissance.
Cette histoire nous a touchées (peut-être parce qu’on a vécu de près la dépression de proches) et on espère que ce sera aussi votre cas 🙂
PS : on est présentement en périphérie de Rennes, chez le papa de Gaëlle et je peux vous assurer que le climat est beaucoup plus clément qu’à Lyon. Bon sang, j’ai dû fermer la fenêtre et mettre un sweat ! On n’avait pas mis de sweat depuis des mois !!!!!
Eh oui, rien de tel que l’air de la Mer!! Pour se ressourcer, l’iode est magique ! La Bretagne, qu’elle belle région !! Petit clin d’oeil : les bretons et les basques ont beaucoup d’atomes crochus, parole d’une parisienne émigrée vers Bayonne
Comme d’habitude j’attendais l’article du lundi avec impatience et je ne suis pas déçue ! Ça donne trop envie 😋 Encore quelques jours et je me jette dessus merci !
Merci Zouzou ! Merci de commenter chaque lundi ! A chaque fois que je vois ton pseudo, j’ai la chanson de Zorro dans la tête quand on regardait les rediffusions étant enfant du fameux « Il signe à la pointe de son épée, d’un Z qui veut dire Zorro » sauf que ça fait « d’un Z qui veut dire Zouzou » 😉
Et clairement, on espère que tu vas aimer cette histoire. On est prêtes à faire autant de colis qu’il le faudra ! 🙂
Et bien là c’est le top du top! Non seulement nos petits commentaires font l’objet de clin d’oeil dans les articles du lundi mais en plus on a les réponses c’est trop bien ! Trop trop bien même😁! Ne changez rien j’adore 👍
Zouzou c’est vraiment mon prénom si si… enfin celui avec lequel ma femme et mes amis m’appelle je ne rien choisi et je ne me ballade pas toujours avec mon épée 😂
Comme Cortin Cecile et Zoulou, je lis tous les articles du lundi. Parfois au lever du jour, parfois au coucher 😜
J’ai hâte de pouvoir attaquer ce roman qui promet de bons moments de lecture dans un pays que j’affectionne particulièrement 🥰🥰🥰
Merci beaucoup Isabelle pour ces articles 🙏🏻
Chère Harry Potter, j’ai adoré ton avis (et d’autres aussi) pour « Jeux de pouvoir « .
Dans le mien, j’ai oublié Monique, qui m’a bien fait rire. Son apparition n’est pas anodine mais un piment conducteur pour Amelia !🧚♀️
🤦🏻♀️ Ah oui ! Je l’ai aussi oubliée 😅
Monique est unique 😁
Merci aussi Harry Potter. C’est adorable de lire tous les articles du lundi et de les commenter. Quand j’ai commencé à dire, il y a plus de 7 ans que je voulais qu’on poste un article chaque lundi, je nous ai collé une vraie contrainte. Mais ça me paraissait tellement important !
Et du coup, voir que vous les attendez et que vous les aimez, c’est notre plus belle récompense. Alors vraiment merci !
Chaque lundi est un plaisir de découvrir vos articles je n’en rate aucun vivement le 4 juillet pour découvrir ce nouveau livre
Merci à vous
Coucou Hadrien,
Merci pour ton adorable message. Ça nous touche que tu aies pris le temps de commenter et que tu attendes cette nouvelle sortie avec impatience. C’est une superbe romance, très poétique. D’une poésie lyrique qui permet de découvrir un univers fouillé par l’autrice. Un univers qu’on a peu l’habitude de voir mis en lumière.
Marguerite a proposé une histoire très touchante et vraiment bouleversante sur bien des aspects.
Donc au 4. On est prêtes ! 😉
Harry Potter, tu as parfaitement raison pour Monique ! Jolie rime en prime !😉
Les Reines, je crois que ça va être la ruée vers « La voie du sud » ! 😀😀
Monique est aussi géniale que l’est Imogen pour nous ! Et franchement, on est heureuses que vous ayez autant aimé cette histoire que nous !!!
« Doux Jésus » çà ce nest pas de moi, mais d’une héroïne adorée. Trop belle cette expression!
Imogen!! Jeune fille HPI, Heureusement que tu es là Isabelle pour rattraper mes oublis dans les avis! Les hiboux ont des genoux , c’est certifié 🦉
On a pas battu le record du nombre de commentaires sur un article là ?
Je crois bien que si Zouzou Zorro ! Continue d’utiliser la pointe de ton épée dans les articles !
Comme Isabelle, je suis fan de Zorro et Bernardo….et aussi de Fantomette.
Ben oui, je suis toujours une enfant 🦸♀️
Je pense que tu as raison, Zouzou, on a même pulvérisé le nombre de commentaires sur un article ! A ce rythme, on va détrôner « 6h22 Place 108 », après tout, il n’y a que 55 avis sur l’ebook 😉
Et Cecile, je me rappelle de « Fantomette » la série télé quand j’étais jeune ! J’avais lu tous les livres, mais j’adorais la série et cette héroïne. Je suis en train de me demander si je n’avais pas un gros crush sur elle d’ailleurs, à l’époque…
Détrôner Clémence Alberie, horreur malheur, elle va nous maudire !! Mais peut-être que non après tout, elle a tellement d’humour !
Pour Fantomette, je nai jamais vu la série tv mais dans les livres, je crois qu’inconsciemment j’étais déjà amoureuse d’elle ❤❤