Résilience, le dernier tome des Amazones, sortira le 5 septembre 2023
C’est l’été, tout le monde n’est pas connecté. Et puis, certaines personnes ont la chance d’oublier le quotidien en partant en vacances. Donc on se permet un petit rappel. Il y a deux semaines, nous vous annoncions la sortie du troisième et dernier tome de la trilogie de Patricia Nandes. Résilience qui fait suite à Vengeance, qui lui-même arrivant après Sentence sortira le 5 septembre prochain.
Comme nous n’allons pas réellement vous proposer de relire les articles de blog ratés, voici un résumé condensé.
La quatrième de couverture de Résilience – Les Amazones
Si vous avez lu le tome 2, Vengeance, vous avez été frustrées par ce fameux « à suivre » final. Pas de panique. Patricia Nandes reprend exactement où elle s’est arrêtée. Heureusement, parce qu’il reste encore de nombreuses questions sans réponses…
Allez, sans plus attendre découvrez le résumé de ce nouveau roman policier qui va enrichir la collection de Reines de Coeur.
La mort de Fanni Pettersson et ses révélations ont profondément ébranlé Ludo Degroote, Laura Livi et Alexandra Bertaud. Déterminées à aller au bout de l’enquête et à découvrir qui a mis leurs têtes à prix, Bertaud et Livi sont envoyées à Stockholm, loin du tumulte, pour essayer de faire avancer leurs recherches. Accompagnées de deux policiers du commissariat central, elles remettent tout à plat. La moindre photo, les souvenirs, les détails de chaque situation… Les différents indices sont passés au crible.
Jusqu’à cette mystérieuse casquette de l’armée rouge. Alexandra s’en rappelle parfaitement, la femme qui l’a attaquée en portait une. Mais qui peut bien leur en vouloir au point d’avoir inventé une telle machination ? Le mobile de la complice de Pettersson leur échappe complètement. Et pour ne rien arranger, Stella Johansson, l’inspectrice censée les épauler, est prisonnière d’une relation aussi belle que toxique l’éloignant des investigations.
Traquées, Alexandra et Laura sont sur le qui-vive, et doivent déjouer les coups de leur agresseur qui semble toujours avoir une longueur d’avance…
Dans ce dernier opus, Patricia Nandes conclut la trilogie des Amazones avec brio. Les masques tombent et les différentes enquêtes trouvent leur point final sous une plume digne des plus grands auteurs de romans policiers.
La couverture de ce dernier tome de la série
Avant de vous proposer un extrait du dernier épisode de la trilogie les Amazones, voici la couverture. Pas de puzzle cette semaine. Au contraire, vous allez gagner du temps. Donc, grande révélation sur le visuel de ce troisième roman, toujours aussi épais.
Extrait du dernier épisode de la trilogie des Amazones : Résilience
Bon, nous arrêtons. Promis, nous cessons de vous faire patienter. Voici l’extrait tant attendu. Pas de premier chapitre. Vous aurez la possibilité de le télécharger lors de la mise en vente du livre, le 5 septembre prochain. Nous réfléchissons beaucoup à ces extraits pour vous donner un aperçu différent. En espérant que vous aimiez l’angle choisi pour celui-ci.
Le tableau que leur a dressé Thorell est en dessous de la vérité. Le commissaire Carlberg les reçoit comme un chien dans un jeu de quilles. Physique sec, de petits yeux toujours en mouvement, cinquante-cinq ans, uniforme impeccable, il se contente de leur rappeler quelques règles à respecter puis s’éclipse dans un couloir sans même leur dire au revoir. D’un autre côté, étant donné qu’il ne les avait pas saluées à leur arrivée, il reste cohérent du début à la fin.
Le bureau est spacieux, clair et fonctionnel. Situé au dernier étage de l’un des bâtiments de Bergsgatan, on aperçoit l’extrémité de Västerbron, le pont qui relie le quartier de Kungsholmen à l’île de Langholmen. Une carte du pays a été installée sur un mur et chaque épisode relatif à l’enquête Nygren/Magnusson/Pettersson s’est vu attribuer une punaise de couleur différente. Ainsi représentée en trois dimensions l’affaire acquiert une tout autre forme et Laura se fige involontairement devant, victime d’un nouvel arrêt sur image. Par chance, ni Thorell, ni Sandeberg ne s’en aperçoivent. Alexandra caresse sa main sans que personne ne le remarque. Laura se remet alors en route, apparemment énervée d’avoir à subir ce genre de pannes de secteur.
— Ordinateurs, imprimante, téléphones, paperboard, j’ai essayé de faire en sorte que vous ne manquiez de rien, lance aussitôt Thorell en prenant les rênes de la conversation.
— Merci. La carte est intéressante, relève Alexandra en se rapprochant du mur. C’est vous qui l’avez réalisée ?
— Oui, hier soir. Je me suis dit que ça vous aiderait à y voir plus clair. En tout cas ça marche pour moi.
— Vous êtes au courant de l’affaire Mattisson ?
— Bien sûr, et c’est nous deux qui jouerons le rôle d’intermédiaires, ou de facilitateurs si vous préférez, entre Europol et les différents acteurs de l’enquête.
— Super !
— Je boirais volontiers un café, leur suggère Laura.
— Göran.
Thorell fait signe à son équipier, et sans doute subordonné, d’en apporter quatre.
— Qu’est-ce que vous en pensez ? lui demande Alexandra en pointant la carte du doigt.
— Si j’en crois tous les rapports que j’ai lus cette nuit, je serais tentée de dire que l’épicentre se trouve à Söderhamn, répond leur collègue suédoise.
— Nous, on bute sur l’épisode de Malmö, admet Laura.
— Moi aussi, capitaine Livi. Là, j’avoue que je ne comprends plus.
— Laura !
— Et Alexandra, s’il te plaît !
— OK.
— Tu as d’autres punaises ? lui demande Alexandra, le regard posé sur le tableau.
— Oui, dans le tiroir de droite.
Alexandra se saisit d’une boîte, choisit un modèle de punaise plus grand et remplace celle de Malmö.
— Je serais d’avis de déplacer l’épicentre sur le poste informatique de Forsberg. Si nous comprenons pourquoi et comment ça s’est passé, nous trouverons l’identité de cette personne.
— Bonne idée ! réagit immédiatement sa compagne.
Sandeberg revient avec quatre mugs et les pose sur l’un des bureaux. Il remarque aussitôt la nouvelle punaise et s’y attarde en sirotant son café.
— Je pense que c’est prémédité, lance-t-il soudain.
— Quoi ? le reprend Alexandra.
— Le coup du PC de Forsberg. C’est une provocation, une façon de nous dire, vous voyez, je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux. Et pour moi, c’est un mec.
Il pose sa tasse, égraine quelques boules de l’un de ses bracelets et rajoute :
— Pas forcément très jeune. La petite trentaine.
— Dio ! Qu’est-ce qui te fait penser ça ?
— Je pense qu’il a joué le même rôle que Mats Ekblad avec Pettersson. Maintenant qu’elle est morte, il veut finir le job.
— Ses raisons ? lui demande Alexandra, pas forcément d’accord, mais intéressée par ses déductions.
— Un lien qui l’unissait à Fanni, quelque chose de très intense. Le truc vraiment à l’épreuve du temps et que la mort de la petite a encore renforcé.
— Et toi Margot ?
— Ce qui dit Göran n’est pas obligatoirement faux. Je continue pourtant à croire qu’il s’agit d’une femme et non d’un homme.
— Pourquoi ?
— La seconde tentative de meurtre sur Nygren. Et surtout l’emploi de la lame, à cet endroit précis. Un homme n’aurait pas eu ce genre de geste.
— C’est ce que nous pensons, acquiesce Alexandra.
— Mais Göran a peut-être raison, ajoute Laura. Tous les dossiers sont là ? s’enquiert-elle en indiquant plusieurs piles alignées sur l’un des trois bureaux.
— Oui, nous avons reçu les copies par mail hier soir.
— Alors il faut vérifier la piste que soulève Göran.
Parmi toutes les pièces du dossier Magnusson, Alexandra tombe sur les noms de Nina Sällström, Samuel Henriksson et Jan Lindman, les trois autres compères de la bande d’amis dont Mats Ekblad et Rikard Hedman étaient les leaders. Sans plus attendre, elle téléphone au commissaire Mörk et lui demande de mener une enquête discrète sur leurs allées et venues, dans la mesure où ils résident bien encore à Söderhamn.
— Tant que vous y êtes, vous voulez bien vérifier une nouvelle fois ce qu’il est advenu des Tengblad, de Beckman et de sa fille, rajoute Alexandra après avoir eu l’assentiment de Mörk.
— Bien entendu. Comment se porte Nygren ?
— Il revient de loin.
Rendez-vous le 5 septembre prochain à minuit et une minute
Marquez cette date dans vos agendas et préparez-vous à vous plonger dans une aventure palpitante qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page. Patricia Nandes fait monter la pression crescendo et s’est débrouillée pour vous empêcher de lâcher son livre. Vous aurez envie et besoin de connaître la fin de cette histoire, c’est sûr !
À bientôt !
Cet extrait laisse présager de nouvelles périlleuses péripéties !
Je pense que Patricia va encore nous embarquer dans une nuée de nœuds à démêler avec son lot de frissons, d’actions et d’émotions.
J’imagine un cocktail explosif nous tenant en haleine jusqu’au dénouement !
J’ai hâte de retrouver nos policières de choc, résolues, déterminées et inébranlables, capables de rebondir sur le trampoline de la vie vers un avenir à construire avec amour 😊🥰💖
Même en vacances on reste connecté pour mettre un petit commentaire sur cet extrait qui soulève plus de questions qu’il ne donne de réponses. De quoi donner envie de connaître la fin de polar âpre et haletant j’en suis sûre 😋