Leçons d’Alchimie, le nouveau livre de Jae sortira le 13 juin chez R2C
La semaine dernière, nous vous avons annoncé cette information. Notre prochain roman lesbien, Leçons d’Alchimie, sortira le 13 juin. Il ne s’agit pas de n’importe quel livre. Au contraire ! Voici une romance lesbienne que vous allez adorer. Oui, encore une romance. On vous gâte cette année. Nous avons senti qu’il fallait privilégier les belles histoires pour nous aider à supporter cette conjoncture de plus en plus difficile.
Donc, que vous révéler sur Leçons d’Alchimie sans trop en dire non plus ? Compliqué…
L’histoire se concentre sur deux amies d’enfance, Regan et Ky. La première est une prof de chimie bisexuelle, la seconde est une aide-cuisinière au self du lycée et est ouvertement lesbienne. Elles sont amies. Juste amies. Après tout, elles se connaissent depuis l’enfance et jamais, au grand jamais, elles n’ont imaginé que leur relation pourrait être plus… Quoi que…
La quatrième de couverture de Leçons d’Alchimie de Jae
Avant d’aller plus loin, laissez-nous vous proposer ou vous reproposer, le résumé. Gaëlle est réellement la spécialiste des quatrièmes de couverture. Et nous sommes certaines que vous allez adorer celle-ci !
Kylie et Regan sont amies depuis leur plus tendre enfance. Unies comme les deux doigts de la main, elles ne se quittent jamais, allant jusqu’à travailler dans le même lycée. L’une est cuisinière au restaurant scolaire, l’autre est professeure. Leurs routines de vieux couple amusent et intriguent leur entourage depuis des années.
Lassées des taquineries et rumeurs à leur encontre, Ky et Regan acceptent de se prêter à une expérience scientifique : sortir ensemble pendant trois rendez-vous afin de prouver à leurs amies qu’aucune alchimie n’existe entre elles. Et côté alchimie et composants qui s’attirent, Regan, professeure de chimie, sait de quoi elle parle.
Mais lorsque les regards s’attardent et les contacts accidentels s’intensifient, leurs certitudes commencent à vaciller…
Et la couverture avant l’extrait roman lesbien de Jae
La semaine dernière, c’était le puzzle. Cette semaine, c’est la révélation officielle de la couverture. La voici ! Alors, qu’en dites-vous ? Et si vous êtes curieuses et que vous aimez les anecdotes, sachez qu’elle est très proche de la couverture d’origine. Il s’agit du même personnage. Seulement cette femme, au lieu de croiser les bras sur sa poitrine et de regarder son matériel de chimie… Eh bien, cette femme, elle écrit au tableau. On adore le clin d’oeil avec l’original, dans l’équipe. On avoue.
Et enfin l’extrait roman lesbien de Leçons d’Alchimie de Jae
Allez, je sais que vous êtes là pour cet extrait. Alors j’arrête de bavarder et de vous ennuyer avec mes petites histoires. Je vous laisse découvrir comment tout a commencé… Regan ne devrait pas avoir des idées… Clairement, cela peut conduire au pire et au meilleur, en même temps !
Bonne lecture.
Si sortir avec quelqu’un avait été aussi sympa que passer du temps avec sa meilleure amie, Regan l’aurait fait plus souvent. Avec Ky, il n’y avait pas de panique de dernière minute à cause du ménage à peaufiner ou de la tenue à enfiler. Elles pouvaient juste se vautrer toutes les deux dans le canapé comme de vraies paresseuses, parfois même en jogging et sans soutien-gorge. En plus, Regan n’avait pas besoin d’impressionner Ky avec un dîner exceptionnel.
Ses gestes n’avaient aucunement l’élégance de ceux de Ky lorsqu’elle se mit à couper les tomates. Heureusement, sa meilleure amie n’était pas du genre à vouloir tout diriger. Après une journée entière passée debout à travailler, Ky semblait ravie dans le sofa, les doigts de pieds en éventail sur la table basse.
Regan s’avança jusqu’au réfrigérateur et sortit la tête de sa petite cuisine pour regarder son amie. Elle sourit en la découvrant comme elle l’avait imaginée. Ky était la seule personne que Regan connaissait qui portait encore des jeans bootcut. Il fallait reconnaître que ça lui allait bien. Le vêtement mettait en valeur sa taille fine, ses hanches généreuses et ses cuisses robustes.
— Quoi ? interrogea Ky sans ouvrir les yeux. Tu as besoin d’aide ?
Regan retourna à sa tâche et badigeonna de tartinade de poivron rouge l’intérieur de deux pains ciabatta, puis ajouta du jambon.
— Non, je gère. Je n’ai peut-être pas hérité du gène familial pour la cuisine, mais je peux préparer des sandwichs comme personne.
Ky approuva d’un grognement.
— C’est vrai. Je n’ai jamais compris comment tu pouvais être si douée en chimie et n’avoir aucun talent en cuisine. Nos métiers ne sont pas si différents, tu sais ?
Regan gloussa et contourna une nouvelle fois le réfrigérateur afin de voir son amie.
— Tu veux dire qu’ils sont tous les deux mal payés ?
Le visage anguleux de Ky s’adoucit lorsqu’elle se mit à rire.
— Oui, aussi. Mais mélanger des substances chimiques s’apparente à suivre une recette de cuisine, non ? insista-t-elle.
— Un peu. Seulement, au labo, mieux vaut ne pas…
— … lécher la cuillère ! achevèrent-elles en cœur.
Un silence confortable en découla, interrompu uniquement par le bruit des ustensiles de cuisine. C’était là aussi un avantage à passer du temps avec sa meilleure amie : Regan n’avait pas besoin d’animer la conversation. Un contraste agréable avec ses journées, où elle parlait pour deux.
— Oh, j’allais oublier ! s’exclama Ky avant de rejoindre l’entrée où elle avait abandonné son sac à dos. Je t’ai apporté du salami comme tu aimes. Tu veux en mettre dans ton casse-croûte ?
Ky s’engagea dans la petite cuisine en forme de U, la viande à la main.
— Où as-tu déniché ça ? Ça ressemble au soppressata que mes parents achètent pour le restaurant.
Regan s’empara du salami et en coupa une fine tranche qu’elle glissa dans sa bouche.
— Mmm. Il en a même le goût.
Ky gloussa.
— C’est parce que c’est le même. Tes parents m’ont expédié un colis de ravitaillement la semaine dernière.
Regan s’appuya contre l’un des placards couleur miel et afficha une petite moue boudeuse.
— Pourquoi est-ce que mes parents t’envoient mes aliments favoris ?
— Probablement parce qu’ils savent que c’est moi qui cuisine dans la famille.
Ky s’arrêta net. Du dos de la main, elle repoussa les mèches de cheveux qui barraient son front. Elle avait baissé les yeux et contemplait le carrelage.
— Euh, je veux dire…
— Hé ! coupa Regan.
Elle déposa son couteau et le salami sur le comptoir avant de donner un petit coup de hanche à son amie. Comme celle-ci était plus grande et plus lourde, elle ne bougea pas d’un pouce.
— Évidemment que tu fais partie de la famille.
Ky était comme une sœur pour elle. Regan y réfléchit un instant. Non, ce n’était pas vraiment ça. Leur relation n’était pas pareille que celles qu’elle avait avec Mackenzie ou Robbie. Elle n’aurait pas pu expliquer en quoi c’était différent. Mais ça l’était.
Regan passa un bras autour de Ky et s’appuya contre elle. La douleur et la solitude ressenties par son amie irradiaient d’elle comme la chaleur d’un four à pizza. Ky s’agrippa à elle, probablement plus fort qu’elle ne le réalisait. À son tour, Regan la serra davantage contre elle et fit de son mieux pour ne pas se crisper.
Elle grinça des dents. Elle aurait pu tuer les parents de Ky.
Merde. Heureusement qu’elle n’avait pas dit ça à voix haute. Ça aurait rappelé à son amie que sa mère était décédée… et que pour son père, c’était tout comme. Ky lui avait à peine adressé la parole depuis ses seize ans, lorsqu’il avait été incarcéré. Ils n’avaient pas repris contact à sa libération.
Tout doucement, elle pressa l’épaule de Ky.
— Tu sais que mes parents te considèrent comme la fille qu’ils n’ont jamais eue, n’est-ce pas ?
Ky releva la tête.
— Ils ont deux filles.
— Ils en ont trois. Et certains jours, je pense que tu es leur préférée.
— N’importe quoi, grommela Ky.
Une ébauche de sourire étirait cependant ses lèvres.
— Bien sûr que si, et tu le sais. Allez, viens. Aide-moi à enfourner ces bébés, comme ça je vais pouvoir te parler de la brillante idée que j’ai eue.
Préparer à manger redonnait toujours le sourire à Ky. Regan espérait que cela fonctionnerait une fois encore. Ky serra à son tour l’épaule de Regan, puis lâcha prise. Elles se mirent à travailler côte à côte, effeuillant la salade puis découpant la mozzarella et la soppressata sans jamais se cogner ni même se gêner, alors que la cuisine était vraiment petite.
Peut-être que Ky avait raison. Cuisiner pouvait être aussi amusant que mener des expériences en chimie. À condition d’être avec la bonne personne.
***
Lorsqu’elles s’installèrent enfin dans le canapé, sandwichs à la main, Ky avait presque oublié son instant de faiblesse. Avec n’importe qui d’autre, elle se serait sentie gênée. Mais Regan avait toujours été avec elle, notamment dans les mauvais moments. Quand son père avait été arrêté pour détournement de fonds, alors qu’elles étaient encore au lycée. Quand, peu après, sa mère avait demandé le divorce et avait déménagé à des centaines de kilomètres, emmenant Ky avec elle. Quand sa mère était décédée d’une overdose de Xanax et d’alcool, la veille de ses vingt-et-un ans.
Pas une seule fois Regan n’avait manqué à l’appel. Habiter loin l’une de l’autre et être obligées de finir leurs scolarités dans des lycées différents n’avaient pas réussi à les séparer. Pas plus que le gouffre entre l’université où Regan avait étudié et les nombreux supermarchés et fast foods où Ky avait enchaîné les petits boulots. Regan avait toujours été là pour elle.
Regan rebondit sur le canapé, comme pour sortir Ky de ses pensées.
— Arrête de broyer du noir et mange. Ton casse-croûte refroidit.
— Comment sais-tu que je broie du noir ?
— Tu as une ride qui se forme juste là.
Regan tapota le front de Ky au-dessus de la cicatrice qui barrait son sourcil gauche. Ky leva la main et palpa l’endroit indiqué. Elle avait une ride ?
— Vraiment ?
Regan sourit de toutes ses dents puis croqua dans son pain.
— Non, admit-elle la bouche pleine. Je… Je le sens, c’est tout. Maintenant mange, ou je te pique ton repas aussitôt le mien avalé.
Ky savait que ce n’était pas une menace en l’air. Regan n’avait peut-être pas hérité des talents culinaires de sa grand-mère ou de son père, mais elle avait définitivement le même appétit. Ky resserra sa prise sur son casse-croûte et mordit dedans. Le fromage fondant, le pain croustillant, la tartinade de poivrons légèrement épicée… Tout se mélangeait sur sa langue en une parfaite harmonie de saveurs et de textures.
— Oh, waouh !
Elle se laissa glisser contre le dossier du canapé et lâcha un petit gémissement.
— Oublie ce que je t’ai dit sur ton manque de talent en cuisine. Je choisirai toujours ça plutôt qu’un dîner dans un restaurant étoilé.
Regan avala une nouvelle bouchée.
— Je parie que tu dis ça à toutes les femmes qui cuisinent pour toi.
— Les femmes ? Quelles femmes ? Il y a une éternité que je ne suis pas sortie avec quelqu’un.
Regan reposa son casse-croûte dans son assiette et s’essuya les mains sur sa serviette.
— Ça me coûte de le reconnaître, mais Heather avait raison.
Ky s’arrêta net, le sandwich à quelques centimètres de sa bouche, et regarda Regan. Elle ne voulait pas dire que… Regan pensait-elle sincèrement qu’il puisse y avoir une quelconque alchimie entre elles ? Malgré la chaleur du pain, Ky se sentit saisie par le froid. Il lui sembla que ses poumons gelaient. Regan ne pouvait pas se douter qu’à une époque, plusieurs années auparavant, Ky avait eu un véritable coup de cœur pour elle, si ?
Regan explosa de rire.
— Tu as vraiment une ride, maintenant.
Elle la frotta du bout du doigt, comme pour l’effacer. Ouf. Ky expira longuement et chassa affectueusement la main de son amie. Regan ne savait pas. Il n’y avait rien à savoir. Il s’agissait d’un truc d’adolescente un peu niaise et, hormis dans des rêves un peu fous, Ky n’avait jamais imaginé lui révéler ses sentiments. D’ailleurs, à l’époque, elle ne se doutait pas que Regan aimait les filles autant que les garçons. Regan l’ignorait elle-même, à dire vrai.
Puis le père de Ky avait été arrêté et son monde s’était effondré. Une seule chose avait tenu debout : Regan et sa famille. Heureusement qu’elle avait été suffisamment intelligente, même à seize ans, pour ne pas dévoiler ses sentiments et mettre en péril son sanctuaire. Désormais, ce crush d’ado n’avait plus d’importance. Elle avait tourné la page depuis des années.
— Je n’ai pas de ride, ronchonna-t-elle.
Grimaçante, elle replaça sa mèche de cheveux devant son front.
— Eh bien, tu es plus vieille que moi, alors…
Ky s’esclaffa.
— D’un mois et seize jours !
Elle mordit dans son casse-croûte de manière à calmer son estomac tout remué.
— Alors, articula-t-elle après une minute, sur quel sujet penses-tu que Heather avait raison ?
— Cela fait trop longtemps que je… que l’une d’entre nous n’est pas sortie avec quelqu’un.
De l’humble avis de Ky, on accordait trop d’importance aux relations amoureuses. Aucune des siennes ne s’était montrée à la hauteur de ses espérances et il semblait qu’elle non plus n’avait jamais été à la hauteur des espérances de ses partenaires.
— Et pourquoi ce serait un problème ?
Tant qu’elles étaient toutes les deux célibataires, personne ne leur reprochait tout le temps qu’elles passaient ensemble.
— Ce n’est pas un problème, assura Regan. C’est juste qu’à cause de ça, nos amies pensent qu’on devrait être en couple.
Ky la dévisagea par-dessus son sandwich.
— Tu veux sortir avec quelqu’un pour qu’elles arrêtent d’insister ?
Regan lui donna un petit coup d’épaule.
— Oh là non. Mais en préparant le labo ce matin, j’ai eu une idée.
— Est-ce que ça implique de l’herbe à puces ?
Regan lui lança une boulette de mie de pain à la figure.
— Tu ne me lâcheras jamais avec cette histoire, n’est-ce pas ?
Ky glissa la boulette dans sa bouche.
— Non. Après tout, j’ai eu des rougeurs et des démangeaisons pendant des semaines. Fran a dû m’affecter à la préparation du pain et a insisté pour que je reste derrière, afin de ne pas effrayer les gamins.
— C’est différent cette fois-ci. Cette idée est vraiment brillante. Je pense avoir trouvé la solution pour qu’on nous laisse tranquilles une bonne fois pour toutes.
— OK, explique-moi.
Plutôt que de tout déballer, Regan engloutit la fin de son casse-croûte et se mit à mastiquer avec application. Que se passait-il ? Elle n’était normalement pas du genre à se contenir. Ky attendit avec impatience.
— Tu sais comment on procède en sciences pour prouver que deux substances ne réagissent pas entre elles ?
— Tu me demandes ça à moi ? s’étonna Ky, le doigt pointé vers sa propre poitrine. J’ai à peine validé la chimie au lycée, malgré toute l’aide que tu m’as apportée.
— OK, OK. On réalise une expérience.
Ky manqua de s’étouffer avec la fin de son sandwich. Qu’est-ce que… ? Regan ne s’imaginait pas que… Regan explosa de rire, remplissant tout l’appartement de ce son magique.
— Kylie Wells ! Quel esprit mal placé ! Pas ce genre d’expérience, non. En chimie, on met les deux substances en présence l’une de l’autre et on observe tout ce qui pourrait indiquer une réaction. S’il n’y a pas de dégagement de chaleur, ou d’odeur, ou de gaz, ou tout autre indice, on conclut que…
— Qu’il n’y a pas d’alchimie, compléta Ky à sa place.
— Plus en ces termes depuis quelques siècles, mais oui. Donc si on sortait une fois ensemble et qu’il n’y avait pas de…
— Dégagement d’odeur ou de gaz, termina Ky avec un sourire malicieux.
Regan la fusilla du regard, mais avec ses joues roses, son nez retroussé et sa petite stature, elle était la personne la moins intimidante que Ky connaissait.
— S’il n’y a pas de production de chaleur ou quoi que ce soit, tada !
Regan écarta les bras comme si elle venait d’achever un tour de magie. Ky essuya une goutte de poivronnade restée dans son assiette tout en réfléchissant. Elle ne voyait pas en quoi l’idée était brillante. Si quelque chose virait mal, les dégâts seraient plus importants que des rougeurs et des démangeaisons.
— Je ne sais pas, Regan.
— Pourquoi pas ? On connaît déjà le résultat de l’expérience. On a partagé le même lit des dizaines de fois. On s’est déjà baignées toutes nues l’une devant l’autre.
— Dans une piscine gonflable quand on avait cinq ans !
Regan balaya son argument d’un revers de main.
— On s’est même embrassées.
Elles plissèrent toutes les deux le nez à ce souvenir. OK, ce baiser n’était pas entré dans les annales, ou certainement pas sous l’adjectif sexy. Il s’était avéré collant, gênant, et un peu mignon quand même.
— Tu t’attendais à quoi ? On avait six ans !
— Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a jamais eu de réaction – d’attirance – entre nous. Pourquoi est-ce que ça changerait juste parce qu’on dîne aux chandelles ou je ne sais quoi ?
Effectivement, pourquoi est-ce que ça changerait ? Un ancien coup de cœur à sens unique, oublié depuis des années, ne signifiait rien du tout. Ky s’inquiétait probablement sans raison. Regan pivota sur le canapé pour se retrouver face à Ky et la détailla avec attention.
— À moins que tu penses que…
— Non, c’est bon. On a déjà été toutes les deux au restaurant des centaines de fois. Rien de spécial, si ?
— Exactement.
Ce ne serait pas un rendez-vous romantique. L’unique objectif était de clouer le bec à leurs amies. Ce serait simplement une sympathique soirée avec sa meilleure amie. Regan l’avait vue au plus bas. Ky pourrait se détendre, être elle-même. Elle n’aurait pas à rester sur ses gardes et à maintenir les apparences comme c’était le cas habituellement avec ses dates. Pas de masque. Pas de comédie.
Ce tableau vert espoir où s’inscrit » Leçons d’alchimie » à la craie, je l’aurais préférée, petite, plutôt qu’un tableau noir avec sa leçon de morale!
Pour la quatrième de couverture, il faut un véritable talent synthétique ! Bravo Gaëlle, encore une fois, tu me fais vaciller !
Hé, Isabelle, tu ne nous ennuie jamais !
Au contraire, j’adore ton humour et tes articles; ils me donnent du Peps chaque lundi 💛👑🦄
Miam 😋 Tout cela donne envie! Le sandwich, les dialogues, le challenge j’adore !