Interview décalée de Marie Parson, auteure de Seconde Chance

Marie Parson

Marie Parson se prête au jeu de l’interview décalée…

Comment décrirais-tu ton tempérament ?

Travailleuse et perfectionniste. Je suis très exigeante avec moi-même et aussi avec les autres. Ce n’est pas facile du tout de me supporter même si je m’assagis avec l’âge.

Aurais-tu un défaut ou une qualité que tu aimerais partager avec nous ?

J’ai donné mon plus gros défaut à Alexia, dans Seconde Chance. Je suis d’une maladresse incroyable. La semaine dernière j’ai cassé un bol que mes beaux-parents venaient de nous offrir quelques jours auparavant. Je vous jure, ce n’était pas volontaire !

Quelle est ta devise ?

J’essaie de trouver une citation célèbre, mais j’ai juste « tout travail mérite salaire » et « trouve un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ». Je dirais donc que ma devise a quelque chose à voir avec le travail même si je n’ai pas encore tout à fait identifié quoi.

À quelle époque aurais-tu aimé naître ?

Je ne sais pas vraiment. Si je dis dans vingt ans ça fonctionne ? On connait beaucoup le passé, mais rien de l’avenir donc à choisir je pense que je préfèrerai naître dans le futur.

Si tu étais un livre, lequel serais-tu ?

Certainement pas un classique, je n’ai lu que très peu de livres classiques et uniquement parce que l’on m’a forcée durant ma scolarité. Un petit roman qui ne paie pas de mine et qui a une couverture toute usée, mais qui à l’intérieur offre une histoire passionnante et rythmée.

Si tu étais une heure de la journée, laquelle serais-tu ? Et surtout, pourquoi ?!

12 h parce que j’adore manger ! Et puis c’est une heure qui marque inconsciemment le milieu de la journée, la coupure entre le matin et l’après-midi. J’aime cette idée de passerelle entre deux moments charnières.

Écoutes-tu de la musique quand tu écris ?

Oui, souvent, mais des fois j’aime aussi le calme de l’appartement vide. Tout dépend de mon humeur. Parfois je mets la radio ou un cd mais quand je suis vraiment concentrée, plus rien n’existe autour.

À quelle période de la journée écris-tu ? As-tu un lieu de prédilection ?

Après mes journées de travail donc en soirée, quand je rentre chez moi. Ne le répétez pas, mais l’idéal c’est quand ma compagne est bloquée par une soirée de travail et qu’elle ne rentre pas avant 23 h. Je fais croire que cela me dérange pour la forme, mais en fait je peux écrire pendant des heures sans avoir l’air de me moquer du reste du monde ! Et j’écris à mon bureau ou en ce moment, avec le beau temps, sur la terrasse.

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