Interview décalée d’Edwine Morin, co-auteure de l’Héritage du Pouvoir

Edwine Morin

Edwine Morin se prête au jeu de l’interview décalée…

Edwine Morin, comment décrirais-tu ton tempérament ?

Je suis une personne plutôt calme et réservée. Un peu trop rêveuse, j’ai tendance à me perdre souvent dans mes pensées, ce qui n’est pas génial pour mon entourage.

Aurais-tu un défaut ou une qualité que tu aimerais partager avec nous ?

Je n’arrive jamais à répondre aux portraits chinois ou à ces questions du genre « quel est ton plat préféré ? » C’est un gros défaut parce que comme vous allez pouvoir le constater par la suite, tout le reste de l’interview va être fastidieux ! D’ailleurs, si ça vous intéresse je n’ai pas de plat préféré parce que j’adore manger (et même ça je n’arrive pas à savoir si c’est un défaut ou une qualité, ça doit dépendre du poids qui s’affiche sur la balance…).

Mais encore…

Quelle est ta devise, Edwine Morin ?

Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse. Je déteste blesser les personnes et je rêve d’un monde idéal où tout le monde appliquerait ce principe élémentaire et banal de respect d’autrui.

À quelle époque aurais-tu aimé naître ?

Plein de périodes. La Grèce antique pourquoi pas, ou le Moyen-Âge. Mais j’aurais trop peur qu’avec ma malchance relative, j’atterrisse du côté des esclaves ou des serfs. Du coup, si j’avais une machine à remonter le temps, je ne suis pas sûre que je prendrais le risque !

Si tu étais un livre, lequel serais-tu ? (Tu as le choix entre un genre littéraire, un titre en particulier…)

Aucun titre précis ne me vient à part peut-être Jonathan Livingston le Goéland de Richard Bach. J’aimerais juste être un livre dont on ne se lasserait pas et qui donnerait de l’espoir ou du réconfort à la personne qui le lit. La littérature c’est aussi fait pour ça, les livres sont des amis précieux qui peuvent nous aider et nous accompagner dans des périodes clés de notre vie.

Oui, vraiment décalées les questions…

Si tu étais une heure de la journée, laquelle serais-tu ? Et surtout, pourquoi ?!

Je serais certainement quelque part vers l’aube, quand la journée ne fait que commencer et qu’elle réserve son lot de surprises. Je trouve l’aube très belle, mais j’ai rarement l’occasion de l’observer parce que je ne suis pas du matin. Être cette heure-là de la journée aiderait surement à remédier à ce problème !

Écoutes-tu de la musique quand tu écris, et si oui, pourrais-tu nous en dire un peu plus ?

Je mets souvent de la musique quand j’écris. Ça m’aide à me concentrer, mais ce n’est pas non plus indispensable. Ma playlist d’écriture comprend beaucoup de Jazz, de Trip hop, et de la musique classique aussi. Ce sont souvent les mêmes chansons qui reviennent et que j’écoute cycliquement.

À quelle période de la journée écris-tu ? As-tu un lieu de prédilection ?

J’écris plus facilement le soir voire la nuit. Je peux écrire n’importe où, mais je préfère quand j’ai un espace dégagé devant moi et beaucoup de place pour m’étaler sur mon pupitre !

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