L’autrice d’Aimer n’est pas Jouer se confie dans une interview décalée
Bonjour, Fanny. Tu as répondu à l’interview décalée pour Vice Versa. Alors, de nouvelles questions ont été créées pour l’occasion. Première question, quelle est ton occupation préférée ?
C’est ça le problème, j’en ai… un certain nombre. En vrac, je citerai le jardinage (on a un petit potager. La cuisine (j’adore les grandes tablées), la musique (je joue un peu de piano). Le bricolage (j’aime faire du neuf avec du vieux) et côté sport, la randonnée, le ski, et surtout le parapente. Et puis, il y a écrire aussi. Mais pour toutes les raisons du dessus, je ne le fais jamais chez moi… pas le temps !
Que détestes-tu par-dessus tout ?
En premier lieu : je déteste ranger et conséquemment, chercher mes clés de voiture, mon téléphone, ma carte bleue… etc. Mais d’autres trucs me crispent le poil. Les extrémistes et les bigots, le gratin de choux-fleur, les émissions débilitantes à la télé. Faire les courses le week-end avant Noël. Les magazines « pour filles » avec des fringues, des people et des régimes. Les limaces dans notre potager, le beau temps quand je dois bosser… Bon, j’arrête là, à force de penser à des trucs désagréables je vais finir de mauvaise humeur !
Fanny Mertz se livre
Quelle est ton héroïne de fiction préférée et pourquoi ?
Ellie dans le film Contact de Robert Zemeckis sorti en 1997. D’abord parce le rôle est interprété par Jodie Foster (sans commentaire). Et parce que, plus que n’importe quoi d’autre, j’aurais souhaité vivre son aventure dans ce film…
Quelle qualité préfères-tu chez les autres ?
La simplicité.
Qu’apprécies-tu le plus chez tes ami(es) ?
La même chose.
Que pardonnes-tu le plus facilement ?
La gourmandise, en tout cas, à moi, je me la pardonne super facilement…! En fait, je ne pense pas être trop rancunière, j’ai suffisamment de défauts pour cultiver une bienveillance que j’espère réciproque…
Une superhéroïne lesbienne ?
Si tu étais une superhéroïne quel super pouvoir aimerais-tu posséder ?
L’ubiquité. Ce qui me permettrait de m’adonner en même temps à tous les trucs que j’aime de la question n° 1… (OK, c’est un peu égoïste comme pouvoir !) Sinon, plus altruiste, celui de transformer le monde. En claquant des doigts. En une planète comme celle qu’on voit dans La Belle Verte, un vieux film de Coline Serreau !
Dans quel état d’esprit es-tu après avoir répondu à toutes ces questions ?
Contente d’avoir fini. Pour tout dire, parler de moi n’est pas mon exercice préféré. C’est beaucoup plus facile d’écrire un roman !