Titre : L’Amour au Menu
Auteure : Clémence Albérie
ISBN : 978-2-37838-278-0
Date de Sortie : 08/02/2023
Nombre de Pages : 328 pages
Livraison : Envoi France Métropolitaine en Lettre Suivie : Délai de réception 48h à 72h – Envoi Reste du monde en Livres et Brochures : Délai de réception 12 à 15 jours
Frais d’envoi : France Métropolitaine 3€ – DOM-TOM 4€ – Europe 3€ – Reste du Monde 4€
Résumé :
Cheffe de salle du restaurant Au Macarel, Nadège forme un trio de choc avec ses deux amies et associées, Marina et Claude. En moins d’un an, elles ont réalisé la prouesse de relancer un établissement au bord de la faillite. Si Nadège ne vit que pour son travail, elle résiste rarement à l’envie de discuter avec Olivia. Chaque midi, elle guette avec impatience l’arrivée de la jeune femme drôle et séduisante dont elle est tombée sous le charme.
Mais lorsque sa cliente préférée décide d’organiser tous ses rendez-vous amoureux au Macarel, Nadège est désemparée. Non seulement elle doit assister aux multiples déjeuners et dîners romantiques qui se déroulent sous ses yeux, mais en plus, Olivia profite de sa présence pour débriefer avec elle chacun de ses tête-à-tête.
Une véritable torture émotionnelle pour Nadège…
Delphe (client confirmé) –
J’ai dévoré ce roman, comme tous ceux que j’ai découvert de cette collection, dont ceux de Clémence Albérie, à la différence que là je vais laisser un commentaire à chaud.
Tous ses dénis, ses peurs, ses questionnements sur soi-même, ses croyances et pensée qui nous auto blesses et en plus qui nous empêche de vivre selon notre cœur et qui on est vraiment…
Je les trouves très bien formulé, tellement bien que je vais avoir du mal à relire ce livre ^^ Je me suis un peu trop retrouver dans les caractères et fonctionnement des deux héroïnes, c’est intéressant pour prendre du recul, mais pas qu’évident en se sentant trop concerner *-* ^^
Une des choses qui m’a plus, c’est que dès le début on se doute qu’il vas forcément y a avoir un rendez vs qui sera celui de trop, mais quand arrivera-t-il et sera vraiment t-il trop tard ?
Dès le début aussi je me suis demandé si elles sauraient se dirent ce qu’elles ressentent vraiment, et quand, et je me suis aussi demandé si ce serait comme dans tous les livres avec une fin heureuse pour les héroïnes ou bien si là, ça changerais.
Tout ça m’a donné envie de savoir et de continuer à lire, on a plusieurs rebondissement intéressant, et me donne la sensation que plusieurs principes de caractères humains avec ce que ça peut impliquer, sont bien décris.
Ce que je trouve top aussi, c’est qu’une des deux héroïnes soit vraiment en surpoids, grosse, obèse, comme elle se nomme. Que l’autrice parle de ce thème, du rapport au corps qu’a la société, du rapport a son propre corps en fonction de son poids quel qu’il soit, des barrières que l’on se met, des jugements et regard que l’on reçoit et qui devienne acquis. Et j’avoue que lire ce que pense sincèrement Nadège sur le sujet, ça fait du bien 🙂
Les expressions mélangés de Marina sont assez drôle 🙂
Il me manquerait peut être d’avoir lâché le fil du Titre un peu tôt, même s’il réapparait ^^
Cortin Cecile (client confirmé) –
En mignardise, une dédicace g..astronomique !
Au Macarel, en matière de dégustation on ne fait pas mieux !
Mon héroïne préférée, Nadège, gère la salle avec un coeur débordant.
Mais heureusement, cette spécialiste pour avaler des couleuvres à toutes les sauces ne crée pas les menus !
Les coups de feu, elle connaît mais l’incendie dans sa tête et son coeur sans extincteur en vue, elle ne maîtrise pas (clin d’oeil à Aloise sauvage)
Clémence nous fait mariner impitoyablement grâce à son humour irrésistible, sa description des coulisses du restaurant et de l’amitié fusionnelle du quatuor intergénérationnel.
Beaucoup de thèmes « complexes » abordés
Olivia est très touchante, adorable
Une certaine « S » m’a aussi émue par son comportement et évolution
Marina, Claude, Martin, de belles surprises
Le style d’écriture est parfait
J’ai retrouvé Albi furtivement mais avec grand plaisir (notamment sa cathédrale)
Savoir oser au bon moment est difficile mais libérateur
« Quand tombent les masques » reste quand même mon numéro 1, indétrônable
Merci Clémence et les Reines pour cette gourmandise amoureuse 🥰💗💖💖