Titre : Pas à Pas
Auteure : Lena Clarke
ISBN : 978-2-37838-102-8
Date de Sortie : 12/12/19
Nombre de Pages : 288 Pages
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Résumé :
Injustement mise à la porte par son employeur, Avery Morgan, kinésithérapeute d’une trentaine d’années, se retrouve sans emploi. Désespérée et dans l’obligation de payer ses factures, la jeune femme accepte de reprendre le travail de sa colocataire et meilleure amie. Une lueur de défi dans les yeux, Avery débarque chez Emilia Wilson dont elle devra assurer le suivi quotidien des soins.
Grièvement blessée à la suite d’un terrible accident, Emilia Wilson est une auteure à succès au caractère bien trempé. Recluse dans son imposante bâtisse au décor de rêve, elle fait vivre un véritable cauchemar à ceux qui l’entourent. De nature indépendante, Emilia va même jusqu’à refuser les soins planifiés par Avery.
La jeune kinésithérapeute comprend rapidement que les blessures de sa patiente ne sont pas uniquement physiques. Parviendra-t-elle à percer les mystères du passé d’Emilia et à gagner sa confiance ?
Limi4494 (client confirmé) –
J’ai adoré !!! Un grand merci pour ce livre que j’ai plié en un seul jour !!!
J’ai adoré l’histoire entre les deux femmes et les clins d’œil aux personnages des romans précédents.
Vivement le prochain, avec une suite pour Harper ?
Jillian Gray (client confirmé) –
La romance pure sans « réelle » histoire derrière (si on excepte le passé d’Emilia) n’est absolument pas mon thème de prédilection, mais le résumé m’intéressait pas mal, et puis j’aime les histoires aux relations difficiles agrémentées de médical.
On retrouve ici des personnages aux caractères totalement opposés : Avery la bonne poire, gentille, à la patience surhumaine et Emilia, l’associable garce torturée.
Pour une fois, je vais m’abstenir de faire un petit synopsis, parce que franchement, il n’y a rien à rajouter à celui déjà présent, tout est dit, et ça suffit amplement à attirer le lecteur comme je l’ai été.
Que dire de ce livre ? J’ai aimé, même s’il est vrai, et je me répète, que je préfère les histoires plus « compliquées » à simplement de la romance en thème principal. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle j’ai plus été accrochée par la première partie du livre qu’au reste, tout le avant qu’Emilia lâche prise.
J’avais déjà lu une histoire presque similaire, donc ce qui m’a attiré au premier abord ici, c’est la promesse du joli foutoir à venir, au vu du caractère revêche d’Emilia. Clara l’une des précédentes victimes d’Emilia m’avait d’ailleurs vendu du rêve dans les premières pages. Je m’imaginais déjà les magnifiques confrontations, les crasses imaginées par Emilia, une romance qui n’allait pas tomber tout cuit dans le bec.
Malheureusement, j’avais un peu trop d’espérance de ce côté-là… Emilia est une magnifique garce comme je les aime, mais elle s’est essoufflée trop rapidement à mon goût. Je pensais vraiment qu’elle allait faire durer le plaisir plus longtemps, inventant toutes les crasses possibles et inimaginables qu’on puisse faire à quelqu’un. Il y avait vraiment du potentiel pour faire craquer la patiente Avery, mais Emilia s’est laissée attendrir trop facilement, et j’en suis en quelque sorte frustrée. Mais ce n’est que mon avis, je suis une éternelle insatiable.
Ce qui m’a bien plu par contre, c’est les multiples facettes d’Emilia. Tout d’abord garce/hargneuse tel un chat sauvage, puis timide/mignonne/intimidée, et enfin jalouse/peu sûre d’elle/blessée. Quand elle le veut bien elle est extrêmement mignonne, surtout avec sa peluche, je l’aurai limite imaginée portant un bonnet avec des oreilles de chats ou de lapin, ou bouder en gonflant les joues comme on le voit si bien dans les mangas. D’ailleurs c’est comme ça que je me la représente, un pur personnage de manga « kawaï ».
Avery elle je l’appellerai maitresse patience, mais en tout. C’est le genre de fille qui me plait parce qu’elle est vraiment entière, un brin espiègle, et elle se tient à son code de conduite, n’essayant à aucun moment de profiter d’une quelque conque situation.
La romance est vraiment attendrissante, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en lisant certaines situations cocasses, dont la scène où elles doivent inverser leur rôle (d’ailleurs je me serais limite attendu à voir Emilia débarquer en mode grosse maniaque anti-bactérie, un sac poubelle sur le corps, un masque sur le visage avec des gants de vaisselles pour se protéger).
Par contre, pourquoi engager Avery comme kiné ? Je pensais trouver une Emilia en fauteuil roulant ou avec des béquilles, ce qui aurait pu expliquer son attitude revêche, alors que non, absolument pas. Médicalement parlant elle se débrouille très bien toute seule, donc l’offre d’emploi venant de son père, un cardiologue réputé, c’est un choix étrange. Tout ça reste moyen détourné de sa part pour pousser Emilia à reprendre gout à la vie, donc n’importe quel corps de métier aurait pu faire l’affaire finalement.
Je rejoins les autres avis concernant Harper et Clara. J’aime vraiment les relations compliquées où elles doivent batailler pour créer des liens, et au vu des réticences d’Harper, Clara va devoir plus que s’accrocher pour l’avoir.
Tout ça pour dire que j’ai passé un bon moment. C’est une romance agréable à lire pour se vider la tête.
Louarn Benedicte (client confirmé) –
Super roman. J’ai adoré 🙂
Kyra (client confirmé) –
Et un nouveau très bon moment de lecture, un ! Lena Clarke n’a décidément aucun mal à me transporter dans chacune des romances qu’elle nous offre. Ce livre possède d’ailleurs un atout non négligeable car non seulement l’histoire d’amour qui le compose est très douce, mais ses pages contiennent également la présence de… Mallow ! Un adorable husky que j’ai eu envie d’extirper du récit pour le garder avec moi !
Concernant l’histoire en elle-même elle est, comme toujours avec Lena Clarke, extrêmement bien écrite et construite ainsi que dotée d’une écriture très fluide. J’ai personnellement beaucoup aimé la fraicheur et la naïveté du personnage d’Avery qui, à bien des égards, apporte une légèreté très agréable tout au long du récit. Cette jeune femme possède une personnalité profondément spontanée et solaire et il a été d’autant plus intéressant de la voir évoluer dans un milieu aussi austère que celui dans lequel baigne Emilia. La dynamique entre nos deux héroïnes m’a beaucoup plus, tout comme leur lent rapprochement et leur belle complicité naissante.
Alors une nouvelle fois, un très grand merci à Lena Clarke pour cet agréable moment de lecture ! Du début à la fin, ça a été un vrai plaisir. Comme toujours.
Cortin Cecile (client confirmé) –
Un début sous haute tension. La rencontre entre Avery et Emilia est explosive : Salves verbales, petites manigances tordues, croches pieds. De quoi pour Avery prendre ses jambes à son cou , mais en bon punching-ball indegonflable, notre Kine multifonctions résiste aux assauts.
Emilia, charmant démon ou » Joli danger » se découvre peu à peu et une étincelle réciproque enflamme le Chalet.
Mallow, Féline, Lucifer, Panthère rose et Lapin peluche jouent leurs rôles à merveille.
Deux mystères en suspend : le destin du bouquet de roses rouges ; l’avenir de Harper et Clara ( je vois bien la métamorphose de la Cadillac noire en Caradisiac rose).
Merci Lena pour ce grand pas en avant et pour la phrase » A mes yeux tu n’es pas étrange, tu es « Unique « »
Et bien sûr Merci aux Reines 😍😍😍