Titre : À la Croisée des Chemins
Auteure : Eija Jimenez
Traductrice : Lou Morin
ISBN : 978-2-37838-084-7
Date de Sortie : 14/05/2019
Nombre de Pages : 384 pages
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Résumé :
Rien n’aurait jamais dû réunir Vivian Silva, héritière d’un empire hôtelier dont la carrière de photographe décolle et Alyssa James, mère célibataire et barmaid dans un quartier sordide. Pourtant, un simple pneu crevé va créer une rencontre nocturne électrique.
L’attirance entre les deux jeunes femmes s’impose comme une évidence. Alors qu’elles débutent une liaison passionnée, leurs styles de vie et leurs aspirations se heurtent violemment. Parviendront-elles à surmonter leurs différences pour arriver à s’aimer ?
AnaisMaurice (client confirmé) –
”Qu’est ce qu’une fille comme toi fait avec une fille comme moi? “
Je prendre le temps de faire un petit retour après ma lecture de « À la croisée des chemins » roman écrit par l’auteure Eija Jimenez..
Nous assistons ici à la fortuite rencontre entre deux femmes que tout oppose. L’une est photographe ainsi que la riche héritière d’une grande chaîne d’hôtel. L’autre barmaide et mère d’un jeune garçon vit dans la misère. Rien ne les prédestinait à se rencontrer mais le destin en a décidé autrement.
Nous assistons à un choc entre deux mondes… mais aussi à une étroite et harmonieuse entente.
Vivan et Alyssa (Aka Lys) sont deux femmes pour le moins attachantes. Aux caractères bien trempés, elles ont pourtant appris à s’apprivoiser petit à petit, à dépasser leurs peurs et leurs aprioris pour laisser place à l’amour… L’histoire de ces deux femmes, pourtant si différentes aux premiers abords, a su toucher mon cœur.
Que dire de la plume de l’auteure? elle est fait d’une douceur bouleversante. Je me suis laissée emporter par ce flot d’émotion. L’auteure nous fais voyager à travers ses mots et nous emmène avec elle dans cette histoire tout aussi rafraîchissante qu’attendrissante.
Pour conclure je n’ai qu’une chose à ajouter : laisser vous tenter si ce n’est pas déjà fait !
Et merci également pour cet excellent moment de relecture !
Kyra (client confirmé) –
Youhou, quelle magnifique romance ! A bien des égards, ce roman m’a beaucoup fait penser à « Popcorn Love », de KL Hughes, tout en possédant toutefois une identité propre et des personnages à la fois très différents et profondément attachant.
Le thème des classes sociales est ici abordé d’une manière un peu plus crue et, probablement, avec un peu plus de réalisme puisque les préjugés de nos propres héroïnes viennent se mêler à leurs sentiments et à leurs jugements, pour mieux les tirailler et les faire douter. Leur amour naissant est ainsi tourmenté par leurs propres craintes, leurs propres interprétations biaisées de la réalité qui elles-mêmes découlent de la vie et de l’éducation très différentes qu’elles ont eu. Il leur faudra donc redoubler d’efforts et d’abnégation pour se trouver, se comprendre et s’accepter, et cela malgré les fantômes de leur passé respectif.
Une romance extrêmement poignante donc, dans laquelle tous les personnages secondaires ont un rôle très important et sont le reflet de notre belle réalité : tout n’est que diversité.
Un immense merci à l’auteure pour cette très belle histoire où se mêle doute, tolérance, amour et recherche de soi. Du début à la fin, ça a été un vrai plaisir ! J’ai hâte de me plonger dans d’autres de vos écrits.
Cortin Cecile (client confirmé) –
Un roman très dense, chaleureux et enflammé dans les scènes d’amour. Les mots dansent sur le papier.
Une rencontre en choc frontal qui démarre sur les chapeaux de roues.
Cameron, garçonnet intelligent ( un émerveillement), nature et mature : Il crée l’ouverture entre les deux femmes.
Lys et Vivian , physiquement très séduisantes sont socialement éloignées mais très proches en caractère ( courageuses, intègres, sensibles, maternelles).
Au passage, à une page, petit énervement : « Un garçon manqué » mais on dit rarement en retour « Une fille manquée » Et c’est très révélateur de notre société ! De plus, ah bon, il paraît que le masculin l’emporte toujours sur le féminin en grammaire !jusqu’à quand ?.
L’argent, encore lui, vient corrompre (momentanément) une passion naissante : Il faut toujours se méfier des angles morts imprévus : Helena en l’occurrence, requin intrus dans la perspective.
L’intelligence et les sentiments, heureusement prennent le dessus en grand angle.
Entre l’amour propre et l’amour profond, y’a pas photo.
Une fin absolument romantique à développer en chambre noire ou sur la « Vista sul Mare » de Suzane, Oceane.
Merci Eija, Lou Morin et les Reines 🥰🥰🥰🌈