La Mort frappe toujours deux fois, un roman qui mêle fantasy mythologie et romance entre femmes

Une nouvelle sortie dans la collection fantasy prévue le 13 mai !

Ces dernières années, nous avons ouvert un peu notre ligne éditoriale pour laisser de plus en plus de place aux littératures de l’imaginaire. Nous avons commencé par le fantastique, puis par la science-fiction et nous sommes enchantées d’étoffer aujourd’hui la partie « fantasy ». Au-delà, nous sommes surtout très heureuses d’intégrer Aliénor Cousland à l’équipe des autrices Reines de Coeur.

La Mort frappe toujours deux fois est le premier roman d’Aliénor Cousland. Ce livre réunit tous les ingrédients que nous aimons. La fantasy, la mythologie et une belle romance entre deux femmes qui n’avaient aucune raison de se rencontrer… Et de tomber amoureuses !

Vous ne connaissez rien à la mythologie ? Pas de panique, on est là pour vous aider !

Comme vous allez le découvrir dans le résumé un peu plus bas, il est beaucoup questions de créatures mythiques dans ce roman. Parce que l’autrice s’est inspirée de concepts existants et les a adaptés pour servir son histoire. Du coup, nous avons décidé de vous aider un poil en vous présentant les principales nymphes dont il est question.

Pour rappel, les nymphes sont des divinités mineures dans la mythologie grecque et romaine. Elles sont principalement représentées sous les traits de femmes liées à la nature.

Ainsi, Joséphine est une Dryade, une nymphe protectrice des forêts qui a dû quitter sa forêt à cause de l’urbanisation et vit maintenant à New York.

Ianéria, la meilleure amie de Joséphine, est une Océanide. Bon, c’est facile, mais quand même, on le précise, les Océanides sont des nymphes des fonds marins. Elles sont censées posséder un petit côté inaccessible…

De son côté, Odarka est une Érinye, une divinité persécutrice au service des Enfers dont le rôle est de protéger l’ordre établi. Elle sert à la fois la justice et la vengeance. Donc, vous vous doutez qu’elle a un grand pouvoir !

Crotos est un Centaure, vous savez une créature moitié homme, moitié cheval. Il ne passe pas inaperçu, mais utilise la magie pour se fondre dans cette ville où il réside. Et Daphnée, son bras armé, est une Chasseresse.

Mais il y a aussi une Lampade (les lampades ont donné leur nom aux lampadaires, si vous avez du mal à vous rappeler du sens), une nymphe accompagnant la déesse Hécate en portant notamment les torches lumineuses (vous voyez le rapport avec les lampadaires, maintenant 😉

Et puis, il y a les dieux et déesses : Hécate, la déesse de la lune, Hermès, le dieu messager, Hadès, le dieu des Enfers qui règne sous la terre, Perséphone, la femme d’Hadès, déesse du printemps et on voit même passer Arès, le dieu de la guerre et de la violence…

De quoi vous aider à y voir plus clair, non ? Promis, on est très loin des cours d’Histoire, on est plutôt là pour résoudre une enquête et voir deux femmes que tout oppose tomber amoureuses… Le reste, c’est du détail !

Le résumé de La Mort frappe toujours deux fois d’Aliénor Cousland

Allez, nous avons un peu trop parlé jusqu’à présent. Nous arrêtons. Voici enfin le résumé et ci-dessous, le puzzle pour découvrir la couverture.

Bonnes découvertes !

Odarka, une Érinye au service des Enfers, déteste mettre les pieds dans le monde des mortels. Pourtant, lorsque Hadès lui ordonne de retrouver Méroé, une mystérieuse Enchanteresse, Odarka n’a d’autre choix que de fouler cette terre qu’elle méprise. Avec pour seuls indices un prénom et une localisation incertaine, elle s’engage dans une quête au cœur d’un univers où mortels et créatures divines se croisent sans jamais se comprendre.

Au détour d’un diner tenu par des nymphes dans la banlieue de New York, Odarka fait la connaissance de Joséphine. Si les serveuses n’apprécient pas la venue de l’Érinye entre leurs murs, Joséphine, la Dryade, y voit un intérêt personnel. Odarka pourrait-elle l’aider à retrouver son arbre de naissance, sa source de vie, en échange de quelques informations ?

Un marché est proposé. Une alliance fragile se forme. Mais dans ce monde où les dieux manipulent et les mortels ignorent leur propre fragilité, chaque pacte a un prix. Et Joséphine pourrait bien découvrir que la véritable menace ne vient pas des Enfers… mais de son propre cœur.

Le puzzle de la couverture de La Mort frappe toujours deux fois

Bon courage à toutes et à tous ! Il y a de la couleur et des motifs qui se répètent. Ce n’est pas sympa les motifs qui se répètent dans tous les angles. Mais ce sont les codes des couvertures de fantasy…

Rendez-vous le 13 mai prochain, pour la sortie de La Mot frappe toujours deux fois d’Aliénor Cousland qui mêle fantasy mythologie et romance entre femmes